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24 mai 2013

International

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Algérie. Les déclarations d'Enrico Macias sur la santé de Bouteflika qu'Alger tente de démentir. Enrico Macias a affirmé avoir «rendu visite» au président Bouteflika au Val-de-Grâce et que le président algérien se trouve dans un état «grave», au point de «ne pas pouvoir parler». « J'ai peur pour lui , pour sa santé et pour l'avenir de l'Algérie», a-t-il confié au journaliste. Les déclarations du chanteur, largement reprises et commentées sur les réseaux sociaux, ont visiblement gêné les autorités algériennes. L’ambassade d’Algérie à Doha a immédiatement envoyé une lettre au journal al-Arab dans laquelle il est écrit: «Enrico Macias a démenti avoir rendu visite au président Bouteflika au Val de Grâce. Le journaliste n’a pas compris le français.». Al-Arab le publie, tout en précisant que cela ne signifiait pas que le journal reconnaît avoir commis une faute, puisqu’il dispose d’un enregistrement audio. Pour sa part, Macias revient sur ces déclarations en assurant sur la radio RTL ne pas avoir vu récemment le président Bouteflika. « Je n'ai donc jamais pu dire que j'avais très peur pour sa vie ! », a-t-il aussi précisé. Toutefois, Smaïl Tellai, le journaliste en question, est algérien et parle français: en guise de preuve, il a mis en ligne sur YouTube le son de son interview dans laquelle les réponses d’Enrico Macias confirment de manière très compréhensible ce qui a été écrit dans le quotidien. «Je ne suis pas partie prenante dans cette affaire, je n’ai fait que mon métier de journaliste, insiste Smaïl Tellai. D’ailleurs pour l’instant, nous n’avons reçu aucun démenti d’Enrico Macias, simplement de l’ambassade d’Algérie!».

Niger. Le polisarien du MUJAO, Abou Walid Sahraoui, revendique les attentats meurtriers du Niger. Le porte parole du Mouvement pour l'unicité et le jihad en Afrique de l'Ouest (Mujao), groupe jihadiste sahélien comptant des éléments du polisario dans ses rangs, a revendiqué jeudi 23 mai, le double attentat perpétré au Niger contre l'armée du pays et des installations du groupe français Areva. Le double attenta ayant fait au moins 23 tués dont 18 militaires. «Nous avons effectué deux opérations contre les ennemis de l'islam au Niger», a déclaré Lehbib Ould Ali Ould Saïd Ould Joumani, alias Abou Walid Adnan Sahraoui, le polisarien, porte parole du Mujao. «Nous avons attaqué la France et le Niger pour sa coopération avec la France dans la guerre contre la charia», a ajouté le milicien du Polisario, et cadre du MUJAO, en menaçant d'autres actions. «Nous allons continuer les attaques contre la France et tous les pays qui sont avec la France contre l'islam dans la guerre du nord du Mali», a-t-il affirmé. Le Niger est engagé au sein de la force africaine au Mali déployée à la suite de l'offensive lancée en janvier par l'armée française contre les groupes islamistes armés liés à Al-Qaïda, dont le Mujao. L’ONU aurait chassé l’égyptien de la MINURSO qui incitait les sahraouis à se révolter contre le Maroc. A noter que 18 militaires nigériens et un civil ont été tués dans l'attentat contre un camp militaire à Agadez, dans le nord du Niger, où quatre kamikazes sont morts, et des élèves officiers sont retenus en otages par l'un des assaillants, a annoncé le gouvernement nigérien. "A Agadez, nous avons 19 morts, 18 militaires et un civil", a déclaré devant la presse à Niamey le ministre de l'Intérieur Abdou Labo. "Quatre kamikazes sont morts dans l'explosion", a-t-il poursuivi, faisant aussi état de "13 blessés, dont six graves" dans les rangs de l'armée. "Un cinquième kamikaze s'est enfermé dans un local avec des otages élèves officiers" en formation à Agadez, a-t-il ajouté. "Les dispositions sont prises pour arrêter le kamikaze et libérer les élèves officiers", a assuré le ministre. Un autre attentat à la voiture piégée a visé presque au même moment un site d'uranium du groupe français Areva à Arlit. "A Arlit, nous déplorons malheureusement cinquante blessés", a indiqué Abdou Labo.

Angleterre. Meurtre sanglant à Londres, l'enquête continue, deux nouvelles arrestations. Deux personnes, un homme et une femme, ont été arrêtées jeudi 23 mai pour complicité de meurtre au lendemain de l'attaque mortelle contre un militaire britannique à Londres. Un homme et une femme de 29 ans ont été interpellés "pour complicité de meurtre" et sont actuellement interrogés dans un commissariat de Londres, selon Scotland Yard. Des perquisitions ont par ailleurs été effectuées à cinq adresses de la capitale et à une sixième à Lincoln (dans le nord de l'Angleterre), au domicile de la famille de l'un des auteurs présumés du drame. A la suite de ce meurtre, 1 200 soldats policiers supplémentaires ont été déployés dans la capitale, notamment "dans des emplacements clés : les sites religieux, les transports en commun et les zones d'affluence". Le premier ministre, David Cameron, a précisé que les deux suspects, interpellés après avoir été blessés par la police, étaient connus des services de renseignement et qu'une enquête de routine serait menée pour vérifier si ces services avaient bien fonctionné. Selon la presse britannique, les deux hommes, qui ont crié des slogans islamistes pendant et après l'assassinat mercredi, semblent avoir été élevés dans la religion chrétienne avant de se convertir à l'islam. Un ancien chef de l'organisation islamiste Al-Mouhajiroun, désormais interdite, a déclaré jeudi connaître l'un des deux hommes. "Il avait l'habitude de participer à nos activités", a déclaré Anjem Choudary, affirmant l'avoir reconnu sur la vidéo amateur le montrant juste après le drame. Selon lui, c'était "un gars très tranquille, pas violent du tout, très agréable. Nous avons perdu tout contact avec lui il y a trois ans. Ce que nous avons vu hier a été un choc. Vidéo disponible sur la page Facebook Le 2 Minutes.

Turquie-Syrie. La Turquie veut construire un mur de séparation avec la Syrie. La Turquie a décidé de construire un "mur de sécurité" sur une petite partie de sa longue frontière avec la Syrie afin de mieux la surveiller, a indiqué jeudi le ministre turc des Douanes et du Commerce Hayati Yazici. Ce mur, long de 2,5 km, sera érigé dans une zone située aux environs du poste-frontière de Cilvegözü, dans la province de Hatay, en face du village syrien de Bab al-Hawa, a expliqué Hayati Yazici sur la chaîne d'information NTV. "Il s'agira de barbelés et d'un mur sur lequel seront installées des caméras de surveillance" pour empêcher les infiltrations depuis la Syrie, a-t-il dit, "cette construction maximisera la sécurité dans cette zone". Un attentat à la voiture piégée attribué par Ankara au régime de Damas avait fait 17 morts et 30 blessés le 11 février dernier au poste-frontière de Cilvegözü. Les autorités turques ont par ailleurs décidé mardi de restreindre pendant une période d'un mois les entrées et sorties au seul poste-frontière avec la Syrie encore contrôlé par le gouvernement de Bachar el-Assad, à la suite du double attentat à la voiture piégée qui a fait 51 morts le 11 mai dernier à Reyhanli. Seuls les ressortissants turcs venant de Syrie et les non-Syriens transitant par la Turquie seront autorisés à franchir le poste de Yayladagi, à 90 kilomètres de Reyhanli. La Turquie a imputé l'attaque de Reyhanli à un groupuscule clandestin d'extrême gauche turc lié, selon ses responsables, aux services de renseignements du régime du président syrien Bachar el-Assad, ce que ce dernier a démenti. La Turquie soutient les rebelles syriens et a appelé au départ du président el-Assad. Elle accueille sur son sol quelque 400 000 réfugiés syriens. (AFP) 

USA. Un homme avoue avoir commis un triple meurtre avec Tamerlan Tsarnaev, accusé dans l’attentat de New York. Un homme tué mercredi en Floride lors d'un interrogatoire avec le FBI avait peu avant sa mort avoué son implication dans un triple meurtre commis selon lui avec Tamerlan Tsarnaev, un des auteurs présumés de l'attentat de Boston, rapportent les médias américains. Ce triple meurtre, jamais élucidé, avait eu lieu le 11 septembre 2011 à Waltham, dans la banlieue ouest de Boston. Trois hommes avaient été retrouvés égorgés dans un appartement, couverts de marijuana. L'homme tué mercredi matin, un jeune d'origine tchétchène de 27 ans, Ibragim Todashev, connaissait Tamerlan Tsarnaev, l'aîné des frères accusés de l'attentat du 15 avril qui a fait 3 morts et 264 blessés lors du marathon de Boston. Il pratiquait comme lui les arts martiaux et avait un temps habité Boston, a indiqué un de ses amis Khusn Taramiv sur la chaîne locale wesh.com. L'interrogatoire de Todashev durait depuis deux heures mercredi matin dans son appartement d'Orlando, lorsqu'il a tenté d'attaquer un enquêteur, a expliqué une source policière. Il avait auparavant reconnu son implication dans le triple meurtre et également incriminé Tsarnaev. "Il l'avait reconnu oralement, mais n'avait rien signé", a précisé cette source. Le FBI à Boston et le procureur local se sont refusés à tout commentaire, l'enquête sur le triple meurtre étant toujours en cours. Le FBI de Boston avait plus tôt dans la journée confirmé la mort de Todashev, expliquant qu'il avait "provoqué un violent affrontement" lors de son interrogatoire "en lien avec l'enquête sur l'attentat du marathon de Boston". Cet interrogatoire impliquait un agent du FBI, deux policiers de l'Etat du Massachusetts et d'autres représentants des forces de l'ordre, selon le FBI qui a précisé que l'agent du FBI avait été "légèrement blessé" dans l'affrontement. Todashev avait parlé encore le mois dernier au téléphone à l'aîné des Tsarnaev. Le FBI s'intéressait à lui depuis l'attentat du 15 avril et l'avait interrogé plusieurs fois, selon son ami Taramiv. Les enquêteurs auraient établi un lien entre le triple meurtre et les frères Tsarnaev sur la base de leur ADN, après l'attentat de Boston. 

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