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17 mai 2013

Art & Culture

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People. Combien gagnent les stars marocaines. Sous nos cieux, les artistes-peintres les mieux cotés gagnent largement mieux leur vie qu’une star de cinéma. Cette singularité tient au circuit économique. Concernant le marché de l’art, les maillons de la chaîne sont tous reliés et efficients. En comparaison , le marché du cinéma paraît bien bancal. Il est bien campé sur ses jambes quand il s’agit de production : plus d’une vingtaine de longs-métrages sont réalisés chaque année. Mais le secteur boite quand il s’agit de distribution. Le meilleur exemple reste le roi du blockbuster, Saïd Naciri. Le réalisateur n’a rien gagné avec ses trois derniers films car les salles obscures se font, aujourd’hui, peau de chagrin. Kamal Kadimi, le célèbre Hdidane de la série de Fatima Boubekdi est payé 20 000 dirhams pour chaque épisode et en tourne actuellement une moyenne de deux par mois. Latefa Ahrrare : Ses revenus annuels, la star de la pièce de théâtre Capharnaüm affirme que la plus grosse somme qu’elle a touchée s’élève à 250 000 dirhams pour un tournage de 15 jours. A l’étranger, il lui arrive de donner une lecture de 10 minutes et d’encaisser 1000 dollars. Rachid El Ouali: C’est l’un des comédiens les mieux payés. Il négocie ses premiers rôles entre 50 et 70 000 dirhams. Yassine Ahejjam : Star des feuilletons à succès comme Bnat Lalla Mennana ou Douiba, Yassine Ahejjam est un incontournable du petit écran, et ses cachets varient entre 30 et 40 000 dirhams pour un téléfilm, et entre 100 et 200 000 dirhams pour un premier rôle. Saïd Bey : L’année 2012 fut riche en projets pour ce jeune premier du cinéma qui déclare avoir récolté quelque 200 000 dirhams, entre les grosses productions étrangères qui ont fait appel à lui et un long-métrage marocain où il a tenu le premier rôle. Mohamed El Jam : Pour chaque publicité tournée, généralement avec Maroc Telecom, le comédien encaisse 150 000 dirhams. D’autres artistes sont évidemment hors catégorie comme Gad Elmaleh qui, en 2012, a gagné 2,1 millions d’euros, soit 23 millions de dirhams. Jamel Debbouze, lui, est l’un des acteurs les plus bankables du cinéma français, demandant des cachets allant de 1,5 à 2 millions d’euros pour un rôle principal. (TelQuel)

Buzz-Parodie. Des étudiants d'Al Akhawayn en autodérision avec la parodie de Gentleman de Psy. La jeunesse marocaine commence à bien s'illustrer côté parodies de chansons. La dernière en date n'est autre que celle de Gentleman de Psy, réalisée par des étudiants d'Al Akhawayn à Ifrane. "Weld Al Akhawayn" est la nouvelle parodie, made in Al Akhawayn. Elle n'est, sans doute, pas sans rappeler tous les stéréotypes connus sur les étudiants d'Al Akhawayn. Des stéréotypes que les étudiants rappellent avec ironie dans cette parodie produite par 3ab3ab and 9o9o et interpretée par Adel Abaab. "Dans mon université, l’argent est éparpillé par terre. Dans mon université, le pourboire est à 200 dirhams. Dans mon université, tout le monde conduit des Mercedes. Dans mon université, c’est la fête avec les filles. Pas d'études, les diplômes sans peine... c'est tellement ironique", des mots qui répondent avec ironie à tous les clichés les ciblant. Vidéo disponible sur la page Facebook Le 2 Minutes.

Festival de Cannes. Le cinéma marocain, désormais sur la "carte du cinéma mondial". Le Festival de Cannes "aime" les réalisateurs marocains et leur cinéma "plein d'avenir", assurent MM. Gilles Jacob et Thierry Frémaux, respectivement président et délégué général de ce grand rendez-vous du cinéma mondial où le 7-ème art national est régulièrement représenté. Si aucun film marocain ne figure cette année en compétition officielle, les deux responsables du festival se disent globalement satisfaits de la participation marocaine qu'il faut juger sur plusieurs années, dans un entretien croisé exclusif à la MAP, en marge du festival qui s'est ouvert mercredi à Cannes (Sud de la France). "On aime beaucoup les cinéastes marocains, on est très attentif à tout ce qui se passe au Maghreb et bien évidemment au Maroc", a affirmé Gilles Jacob assurant que le cinéma marocain "est un cinéma qui a plein d'avenir, en ébullition". "On aime le cinéma marocain, on aime surtout les efforts faits par le Maroc, le gouvernement, les professionnels, les passionnés à travers les festivals (Marrakech, la Cinémathèque de Tanger), qui font que le Maroc est devenu un pays sur la carte du cinéma mondial", a souligné, de son côté, Thierry Frémaux, en charge de la sélection officielle. Pour la sélection de cette année, il reconnaît une participation relativement faible par rapport à l'édition précédente, avec un seul film ("C'est eux les chiens" de Hicham Lasri) retenu dans une section parallèle, celle de la sélection de l'Association du cinéma indépendant pour sa diffusion (ACID). (MAP)

Semaine culturelle. Azoulay lance la semaine du Maroc à Luxembourg. Le Grand-Duc Henri de Luxembourg a reçu mardi M. André Azoulay, Conseiller de SM le Roi et Président de la Fondation Anna Lindh, à l’occasion de la semaine culturelle du Maroc dans ce pays (10 au 17 mai). M. Azoulay, qui était accompagné de l’Ambassadeur du Maroc auprès du Royaume de Belgique et du Grand-Duché de Luxembourg Samir Addahre, a eu aussi des entretiens avec plusieurs responsables luxembourgeois notamment le président du Parlement Laurent Mosar, la ministre de la culture Octavie Modert et le bourgmestre de la ville de Luxembourg Xavier Bettel. Ces entretiens ont porté en particulier sur le raffermissement des relations bilatérales, ainsi que sur certains sujets liés à l’Union pour la Méditerranée, à l’Union maghrébine et à la situation au Moyen orient. Dans une déclaration à la presse à l’issue de ces entretiens, M. Azoulay a indiqué avoir trouvé auprès de ses interlocuteurs une volonté très forte de développer les relations de coopération et de partenariat avec le Maroc dans les différents domaines. Il a en outre affirmé que cette semaine culturelle marocaine au Luxembourg constitue une opportunité de donner à tous les luxembourgeois la possibilité de prendre la juste mesure des réalités marocaines d’aujourd’hui et de mieux connaitre le parcourt et l’histoire du Maroc, soulignant dans ce contexte la nécessité de multiplier ce genre de rencontre et d’échange avec tous ceux qui s’intéressent au Maroc et sa culture. M. Azoulay a indiqué également qu’il était nécessaire que cette initiative prenne place au Luxembourg, +verseau de beaucoup de grandes réalisations+ et pays à partir duquel l’UE s’est largement construite dans son histoire. (MAP) 

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