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17 mai 2013

Actualité Politique

Actualité

Royal. Échange de vœux entre S.M. le Roi Mohammed VI et S.M. le Roi Carl Gustaf R. de Suède. Dans un message de félicitations adressé, à cette occasion, au Souverain suédois, S.M. le Roi Mohammed VI a exprimé Ses Chaleureuses félicitations et Ses sincères vœux de santé et de bonheur au Souverain suédois, et de davantage de progrès et de prospérité au peuple suédois ami. Le Souverain a, de même, affirmé que la signature de ce «traité de paix, de commerce et de navigation», en vertu duquel le Royaume du Maroc a offert la protection aux navires suédois, a assurément marqué un nouveau départ des relations d’amitié qui ont, de tout temps, lié le Maroc et la Suède. «La commémoration de cet événement historique procède de Notre souci commun de consolider ces relations pour les hisser au plus haut niveau, au service des intérêts de nos deux peuples amis, et de promouvoir les valeurs nobles de démocratie, de liberté, de paix et de cohabitation entre les religions et les civilisations», lit-on dans ce message. S.M. le Roi a, en outre, exprimé Sa grande fierté des liens d’amitié privilégiés et de considération mutuelle, faisant part de Sa ferme détermination à continuer d’œuvrer de concert avec S.M. le Roi Carl Gustaf R. et son gouvernement, pour intensifier le dialogue et la concertation entre le Maroc et la Suède et insuffler une forte dynamique aux relations bilatérales, fondées sur la coopération et la solidarité, dans le cadre du respect des constantes nationales des deux pays tant aux plans bilatéral et multilatéral, que dans le cadre du statut avancé dont bénéficie le Maroc auprès de l’Union européenne, ou encore au niveau des rencontres internationales. Dans un message similaire, le Souverain suédois a exprimé ses plus sincères félicitations à S.M. le Roi Mohammed VI et au peuple marocain. (MAP)

Terrorisme. Des attentats terroristes pourraient se reproduire au Maroc. Dix ans jour pour jour après les attentats perpétrés contre le consulat de Belgique, un grand hôtel, un restaurant italien, un centre de la communauté juive et son cimetière à Casablanca, le spécialiste français des questions du terrorisme, Alain Rodier explique les raisons d’attaques probables sur le territoire chérifien dans le quotidien français 20 Minutes. Parmi les arguments avancés, le directeur de recherche au Centre français de recherche sur le renseignement cite une remise en cause du statu quo des « islamistes de sa Majesté » favorisant l’instabilité dans le pays. Aussi, le Maroc pourrait être touché par le conflit au Mali à travers les intérêts français dans le Royaume ciblés par AQMI. Le conflit du Sahara représente également une source d’inquiétude car les Algériens soutiennent le Front du Polisario dont les combattants peuvent basculer soit du côté d’AQMI soit de celui du crime organisé. Un risque toutefois préservé selon lui grâce à l’organisation et à la veille des forces de sécurité.

Conflit. Le bras de fer entre le PJD et 2M se poursuit, la deuxième chaîne nationale accusée de partialité par les islamistes. La partie de bras de fer entre 2M et le PJD se poursuit de plus belle. En effet, les députés du parti islamiste ont passé leur colère sur la chaîne d’Ain Sebaâ, l’accusant de tous les maux. Au centre de la querelle, un reportage qualifié d’impartial diffusé dans le cadre de l’émission « Moubacharatan Maâkoum », le 17 avril dernier, et consacré à la décision du gouvernement de réduire le budget d’‘investissement de 15 milliards de dirhams. Une affaire qui en rappelle une autre, à savoir celle de la première édition de « Moubacharatan Maâkoum » accusée de “manque de professionnalisme et de partialité” par le même PJD. Selon les parlementaires pjdistes, ce qui est advenu le 17 avril a été soigneusement préparé dans le cadre d’un scénario ficelé par des sociétés de production connues pour leur proximité avec la direction de 2M. Ce qui exige du ministre de la Communication l’ouverture d’une enquête à ce propos. Une requête qui semble avoir mis Mustapha El Khalfi, ministre de la Communication et porte-parole du gouvernement, en face de ses propres contradictions, lui qui venait, le même jour, de vanter, devant la Chambre des représentants, le bilan de son gouvernement en matière de renforcement de la pluralité dans le paysage médiatique national. En effet, le ministre a affirmé à ce propos que 2M a enregistré cette année un taux de présence de l’opposition égal à 49% contre 51% pour le gouvernement et la majorité. Une première, comme l’atteste le rapport de la Haute autorité de la communication audiovisuelle (HACA) publié récemment, puisque l’Exécutif et sa majorité ont eu droit à 60% du temps de présence contre 30% pour l’opposition. Mieux, le nombre des émissions de débat a été multiplié par trois comparativement aux deux années précédentes. Pour El Khalfi, il est clair que le champ médiatique national a atteint un niveau de pluralisme inédit. Des propos qui seront balayés d’un revers de main quelques instants après avoir été tenus puisque le même Khalfi a indiqué que la HACA a fortement critiqué la deuxième chaîne nationale d’avoir exclu certains partis politiques et centrales syndicales.

Terrorisme au Maroc. 113 cellules démantelées depuis l'attentat du 16 mai 2003. 2002 marque l’engagement du Maroc dans la guerre contre le terrorisme, initiée par l'ancien président américain George. W. Bush. Cette année les autorités arrêtent des Saoudiens qui, selon la version officielle, auraient projeté de mener des attaques contre des navires américains et commerciaux au Détroit de Gibraltar. Le 16 mai 2003, le pays est touché directement par le terrorisme. Depuis cette date, la lutte contre ce phénomène a pris une autre tournure : de la surveillance à distance des groupes wahhabites, appelés salafistes juste après les attentats de Casablanca pour ne pas froisser l’allié saoudien, les différents corps de la sûreté sont passés à un niveau supérieur : les arrestations anticipatives. Une stratégie qui a eu le mérite d’éviter de sinistres remakes du 16 mai 2003. Dans son édition d’hier, le quotidien Al Ahdath Al Maghribia a publié un document présenté comme « officiel », apparemment du ministère de l’Intérieur, sur le bilan de ces dix dernières années. L’élection de la stratégie anticipative a nettement contribué à réduire le nombre d’attentats au Maroc. Un effort qui a permis le démantèlement de 113 cellules islamistes et l’arrestation de 1256 présumés terroristes, soupçonnés de préparer une trentaine d’actes. Dans le détail, le document cite la mise en échec de 266 opérations dont 114 projetées afin d’utiliser des explosives ; ciblant 30 centres commerciaux ; 27 sites touristiques ; 16 représentations diplomatiques et 22 lieux de cultes juifs et chrétiens. La lutte contre les groupes terroristes a permis, également, d’éviter 40 tentatives de vols de banques ; 12 sur les convoyeurs d’argent et 14 visant des agences de distributions d’eau et d’électricité et des grandes surfaces. A l’exception des groupes Hassan Khattab, d’Amgala et d’Abdellkader Belliraj, arrêtés, respectivement en 2006, 2011 et 2008, le bilan des armes saisies est très faible par rapport au nombre de cellules démantelées, sachant que les kalachnikovs, retrouvées dans la région du nord, attribués au réseau du Belgo-marocain remontent aux années 90. 

Incendie. Le risque d'incendie de forêts sera "très élevé" durant cet été selon M. Lhafi. Le risque d'incendie de forêts sera "très élevé" durant cet été, a affirmé, jeudi à Rabat, le haut commissaire aux Eaux et forêts et à la lutte contre la désertification, Abdelaadim Lhafi, appelant les citoyens à la vigilance afin d'éviter tout comportement pouvant provoquer des incendies. Lors d'une réunion de la commission chargée de la mise en oeuvre du plan directeur de prévention et de lutte contre les incendies de forêts, M. Lhafi a noté que la forêt marocaine compte parmi les forêts méditerranéennes les plus exposées au risque d'incendie, précisant que ce risque augmente durant les années marquées par de fortes précipitations, où pullulent les herbes facilement inflammables. M. Lhafi a relevé, en revanche, la faiblesse des superficies incendiées au Maroc en 2012, en comparaison avec les autres pays du pourtour méditerranéen, imputant cela à l'efficacité des mesures de prévention et de lutte prises par les différents intervenants. Ces intervenants, a-t-il expliqué, travaillent dans le cadre du plan directeur de prévention et de lutte contre les incendies de forêts qui s'articule autour de trois composantes, à savoir la prévention et la sensibilisation, la détection et l'alerte et la lutte post-incendie. Le Royaume a acquis, durant la dernière décennie, une grande expertise en matière de coordination et de réactivité face aux incendies, a relevé M. Lhafi, précisant que 90 pc des incendies qui se sont déclarés en 2012 ont été maîtrisés avec l'efficacité et la célérité requises. Ainsi, ajoute-t-il, la superficie endommagée par chacun de ces incendies n'a pas dépassé 5 ha, à l'exception de trois incendies qui ont ravagé plus de 4.100 ha (soit 62 pc du total des superficies incendiées), au niveau de Nador, Tanger et Larache. Par ailleurs, M. Lhafi a fait savoir que le programme de lutte contre les incendies de forêt pour 2013 prévoit la création d'un centre spécialisé dans la détection et la lutte contre ce fléau. Selon des statistiques du Haut commissariat, 484 incendies ont endommagé, en 2012, près de 6.700 ha, notamment dans le Rif (45 pc) et l'Oriental, dont 90 pc causés par l'action de l'homme. (MAP) 

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