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13 mai 2013

Actualité Social

Justice. Un Français condamné à 12 ans de prison pour pédophilie. Un Français de 60 ans a été condamné à 12 ans de prison ferme par un tribunal de Casablanca, au Maroc, pour des actes de pédophilie, a-t-on indiqué samedi de sources policières. Ce ressortissant français, qui a affirmé durant son procès être journaliste, avait été arrêté sur des accusations de pédophilie ainsi que pour «constitution d’une association criminelle» et «séjour illégal» dans le royaume. Il a été condamné mardi dernier par une chambre criminelle à 12 années d’emprisonnement, ont affirmé les sources policières, confirmant une information des quotidiens arabophones Akhbar al-Yaoum et Al-Massae. Il a également écopé d’une amende de 60.000 dirhams (environ 5.500 euros), à verser à la famille d’une fillette marocaine dont la plainte était à l’origine de son interpellation. Selon Akhbar al-Yaoum, l’accusé a reconnu les faits. Les sources policières ont toutefois affirmé à l’AFP qu’il avait interjeté appel du jugement. D’après ces sources, ce Français s’était installé au Maroc il y a quatre ans par crainte de poursuites judiciaires pour pédophilie dans son pays. Il a tout d’abord entretenu une relation intime avec deux jeunes femmes employées comme domestiques, avant de solliciter auprès d’elles des rencontres avec des fillettes d’une dizaine d’années, selon les médias locaux. Une première plainte avait été déposée par la grand-mère d’une victime présumée, alertée par les déclarations de sa petite-fille. L’enquête avait été confiée à la brigade des moeurs de la police judiciaire de Casablanca. Toujours selon les sources policières, les deux domestiques ont été condamnées à huit ans de prison ferme chacune pour «complicité dans la constitution d’une association criminelle». (AFP)

Prisonniers politiques. Lancement du projet FreeKoulchi, une base de données des prisonniers politiques marocains. Les prisons marocaines n’ont pas cessé d’accueillir des prisonniers politiques. Les arrestations se sont intensifiées depuis la naissance du mouvement du 20 février qui réclame la dignité, l’égalité , la liberté et la justice sociale. Il y a eu de nombreux morts et des dizaines de militant(e)s sont emprisonné(e)s pour leur engagement. En tant qu’association de défense des droits humains, l’AMDH était souvent sollicitée pour fournir des listes exhaustives de prisonniers politiques. Et ce de la part des militant(e)s ou des organisations associatives ou politiques. Cela n’était pas facile pour plusieurs raisons. D’abord, l’évolution constante des effectifs des prisonniers politiques (libération des un(e)s et souvent arrestation des autres). S’ajoute à cela, la nécessité de mettre régulièrement à jour les listes en fonction des nouvelles arrestations et des libérations, surtout en l’absence d’une base de données commune regroupant toutes les informations sur les détenu(e)s politiques. Enfin, les autorités marocaines sont rarement coopératives pour fournir les éléments indispensables au suivi des détenu(e)s. Suite à ces difficultés fréquentes est née l’idée d’avoir un site centralisant toutes les données mis à jour régulièrement. Il s’agit d’une base de données, que nous avons appelé « Freekoulchi[1]». FreeKoulchi se veut exhaustive, régulièrement mise à jour, exploitable et elle permet d’avoir une vision claire, factuelle et globale sur la situation et le nombre des prisonniers politiques au Maroc.

Insolite. Le PDG de la RAM perd ses bagages. De retour d’une visite au siège de Boeing, le président de la Royal Air Maroc Driss Benhima, a perdu une valise sur une compagnie américaine entre Seattle et Casablanca, rapporte l’Economiste. Le bagage a été retrouvé dans un aéroport d’Alaska. La victime de ce contre coup, pour le moins amusant, prend l’incident avec philosophie et « se sent solidaire avec les passagers de toutes les compagnies aériennes du monde qui ont vécu ce genre de désagréments », dira t-il.

Justice. Un couple condamné à Sebta pour avoir acheté un bébé marocain. La Cour pénale de Sebta a condamné un couple de Malaga à une peine d'un an et demie de prison pour avoir tenté d'acheter dans la même ville un bébé marocain à 3000 euros, affirme l’agence espagnole EFE. L’affaire remonte en août 2011 quand le couple a contacté une femme à Sebta, servant de référent avec la mère biologique enceinte du nourrisson à cette période. Ces derniers ont décidé de la dissimuler dans leur maison au Maroc jusqu’au moment de l’accouchement et ensuite de prendre soin de l’enfant en échange de la somme en question. L'opération fut découverte au hasard des pratiques d’un stagiaire de la police nationale, donnant son avis à ses pairs qui ont entamé une enquête. La sentence finale qui a réduit la peine à un an de prison, initialement estimée à 3 ans pour le mari et 10 mois pour la femme, est assortie d’une interdiction d’exercice de tutelle et du droit de garde pendant quatre ans. Cette affaire intervient au moment où La Guardia Civil a annoncé le démantèlement d’un réseau criminel espagnol ayant semé la terreur au Maroc entre 1970 à 1980, dépossédant les familles chérifiennes de leur bébé au profit de riches espagnols. 

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