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13 mai 2013

Actualité Economie

Economie

Défense. Le premier drone 100% marocain prévu pour juin. Le projet du premier drone exclusivement de fabrication marocaine entre en phase de finalisation, annonce L’Economiste. Les tests de prototype sont attendus pour la fin du mois de juin prochain à l’occasion d’un événement officiel auquel Lahcen Daoudi, le ministre de l’Enseignement supérieur, assistera. Six chercheurs de L’Ecole nationale supérieure d’électricité et de mécanique ont travaillé sur ce projet dont les essais sur le prototype test ont été réalisés il y a huit mois de cela.

Investissement. Les investisseurs du Golfe ambitionnent 100 milliards de dollars d’IDE. 100 milliards de dollars d’ IDE en 10 ans, est ce qu’ambitionnent de réaliser au Maroc, les investisseurs de la CCG, en conclave à Tanger en début de semaine. Khalil Abdallah Al-Khonji président de l'Union des Chambres de commerce des pays du Golfe, a ainsi prévu, soulignant que les avantages qu’offrent le Maroc en terme de position géo-économique, compétitivité et potentiel de croissance, laissent à ce titre, fort enthousiastes les investisseurs du golfe. 100 milliards de dollars en une décade soit une moyenne annuelle de 10 milliards de dollars de capitaux qui serviraient à des secteurs productifs d’avenir au Maroc, comme le tourisme, l’industrie, les énergies ou l’agriculture. A noter que le forum Gulfinvest s'est tenue sous le thème «Un partenariat stratégique pour une économie d'avenir» et a vu y participer plus de 150 hommes d'affaires et financiers du Golfe, en plus de nombreux acteurs économiques marocains. Cet événement organisé par l’Union des Chambres de commerce des pays du Conseil de coopération du Golfe, CGEM Nord et la Chambre de commerce de Tanger s’inscrit dans le cadre du partenariat stratégique établit entre la Maroc et les pays du Conseil de coopération du Golfe.

Tourisme. Le Maroc négligerait les marchés prometteurs. On n'entend un seul et même refrain chez les officiels marocains en charge du tourisme : « promouvoir la destination Maroc ». Pourtant, une enquête récemment réalisée par le ministère du Tourisme et transmise aux professionnels par l’ONMT, montre que les pays les plus prometteurs sont négligés. Il s’agit principalement des pays scandinaves, à savoir la Suède, le Danemark et la Norvège. D’après l’étude dont les éléments sont rapportés par l’hebdomadaire La Vie éco, les Scandinaves préfèrent les « destinations ensoleillées offrant des séjours en All inclusive ». Ainsi ils embarquent plus pour l’Espagne, la Turquie, la Grèce ou l’Egypte, voire même la Tunisie. Ces dernières années, de nouvelles destinations comme la république Dominicaine, Cuba et même Oman attirent de plus en plus les touristes scandinaves, alors que le Maroc reste toujours à la traine. Ainsi en 2012, le royaume a accueilli seulement 67 000 touristes contre 59 000 en 2005, soit une piètre évolution de moins de 14% en l’espace de 7 ans. La Maroc dispose pourtant d'atouts indéniables qui pourraient séduir ces marchés. En Avril 2012, le ministère du Tourisme disait vouloir les conquérir. Un an après, le bilan est presque nul. Il est vrai que l’aérien a longtemps été décrié comme étant le principal frein au déploiement du tourisme chérifien dans les pays non encore ou pas assez explorés. En Europe centrale, des marchés émergents comme la Pologne et la Russie par exemple restent tributaires des défaillances de l’aérien. Il n’existe en effet, que six dessertes hebdomadaires sur Agadir et deux sur Saïdia pendant l’été à partir de la Pologne. Alors que 6,5 millions de touristes polonais sont partis à l’étranger en 2011, notamment en Turquie et Egypte, le Maroc n’en a reçu que 50 000. Un chiffre qui chutera en 2012 pour s’établir à 42 000. Le cas de la Russie est encore plus critique. Il n’y a que trois dessertes fréquentes entre Casablanca et Moscou et quelques charters sur Agadir. L’enquête du ministère note également ces mêmes problèmes pour l’Allemagne. Le constat est donc là. Malgré tous les programmes lancés l'année dernière pour booster la destination Maroc, officiels et professionnels, le problème de l'aérien perdure et handicape toutes les initiatives.

Baker & McKenzie arrive. Baker & McKenzie prend pied dans la capitale économique. Le cabinet américain couvre à présent l’ensemble du continent africain avec ses trois implantations : Maroc, le Caire et Johannesburg : «Nous sommes le premier cabinet d’avocats d’affaires américain international à nous implanter sur le marché marocain. Pour nos clients, la marque Baker & McKenzie est un gage de qualité, de pragmatisme et de solidité», explique Kamal Nasrollah, Managing Partner de Baker & McKenzie Casablanca, lors de la conférence organisée mercredi dernier pour la présentation de l'inauguration du bureau à Casablanca. Le choix du Maroc n’est pas le fruit du hasard mais le résultat d’une réflexion mûrie depuis de nombreuses années. La stabilité politique du royaume ainsi que son ouverture aux capitaux étrangers représentent de réelles opportunités pour le cabinet américain, qui compte s’attaquer à l’ensemble des marchés Maghreb et Afrique de l’Ouest, et ceci en reposant sur un réseau solide qui compte aujourd’hui 750 associés. «Le droit marocain présente de fortes similitudes avec le droit français. Nous mettons donc à disposition de l’équipe de Casablanca nos experts pour intervenir sur des sujets variés tels que la fiscalité, les fusions & acquisitions, le droit social, le droit public, l’immobilier, le Private Equity», explique Éric Lasry, Managing Partner - Paris. Dirigé par Kamal Nasrollah, spécialiste des fusions-acquisitions, des marchés de capitaux et des contrats de financement, Baker & McKenzie Maroc proposera du sur-mesure à ses clients basés en Afrique du Nord, Afrique de l'Ouest et au Moyen-Orient. L’équipe du bureau de Casablanca va ainsi travailler en étroite collaboration avec les bureaux de Paris, l’un des plus importants du groupe afin de répondre aux demandes croissantes d’accompagnement juridique de groupes internationaux. Baker & McKenzie est le premier cabinet d’avocats d’affaires implanté au Maroc à obtenir le label «Casablanca Finance City». Pour rappel, ce statut ouvre droit à un certain nombre d’avantages (incitations fiscales, contrôle des changes, facilités, etc...) visant à faire de Casablanca un hub financier pour la région. (Les Inspirations ECO) 

Bâtiment. Lafarge reste confiante face à la crise. Lafarge Maroc ne vacille pas face à la crise. Le groupe affiche un moral d’acier malgré la baisse du marché du ciment de près de 21% en ce début d’année par rapport à 2012. Une baisse qui est due principalement à la conjonction de deux facteurs. Il s’agit du niveau des ventes exceptionnel au premier trimestre 2012 avec une croissance de 21,7% par rapport à 2011, ainsi que d’une forte pluviométrie en 2013. Le Groupe anticipe pour l’ensemble de cette année une demande nationale de ciment à un niveau proche de celui de l’année précédente. Mis à part son métier de base, le cimentier entend consolider son positionnement dans la distribution. «Le réseau Mawadis est dans ce sens un levier extraordinaire. Nous avons aujourd’hui 50 magasins et nous comptons doubler nos points de distribution au cours des prochains mois», souligne Saâd Sebbar, Administrateur-DG de Lafarge Maroc. Il ajoute à ce titre, «notre métier de base est la vente de ciment et de béton. Nous avons par ailleurs voulu développer un partenariat et une logique gagnant-gagnant avec nos clients pour qu’ils trouvent tout ce dont ils ont besoin pour construire». Pour Lafarge, l’enjeu consiste à passer du statut de fabriquant de matériaux de construction à celui de fournisseur de solutions. Il s’agit-là d’une véritable mutation pour consolider le positionnement de Lafarge Maroc. «Accompagner le client est synonyme d’offre à haute valeur ajoutée et d'être davantage intégré dans la chaîne de valeur du métier de la construction», note-il. À travers le réseau Mawadis, Lafarge entend également faciliter l’accès au logement de la population à bas revenus en développement des solutions de micro-crédit en les approvisionnant en produits de construction. (Les Inspirations ECO) 

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