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8 mai 2013

Actualité Politique

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Politique. 15 députés PJD corrompus, 15 ministres « ivrognes », Chabat n’en finit pas avec les attaques contre Benkirane. Les membres du PJD prétendent lutter contre la corruption « alors que 15 d’entre eux, lorsqu’ils étaient chargées de la gestion des affaires locales, ont été impliqués dans des cas de corruption, comme cela s’est produit à Midelt et à Meknès », a affirmé le secrétaire général de l’Istiqlal Hamid Chabat lors d’un rassemblement syndical tenu dimanche dernier à Fès, rapporte le quotidien arabophone Assabah. Le responsable politique n'a cependant pas nommé les politiques concernés. Après une attaque directement adressée au parti au pouvoir, le patron de l’Istiqlal s’en est pris aux membres de l’Exécutif affirmant que certains « ministres sont des ivrognes ». « La moitié des ministres du gouvernement conduits par Abdelilah Benkirane sont toujours en état d’ébriété ». D’après lui, le Premier ministre ne serait même pas informé de cet état des choses. Déjà, lors de son allocution à l’occasion de la Fête du travail, M. Chabat a affirmé qu’un ministre s’était présenté au Parlement soûl, traitant également quelques ministres de « menteurs ». Il a réitéré ses attaques dimanche dernier parce qu’en colère, après avoir fait l’objet des discussions de la réunion de la majorité tenue jeudi dernier. En effet, le chef du gouvernement durant toute la séance l’interrogeait sur ses déclarations à la presse au sujet des ministres, alors que l’ordre du jour portait sur la situation économique du pays, la réforme fiscale et la Caisse de compensation, rapporte Le Matin. Pour Abdelilah Benkirane, une question se pose : Hamid Chabat fait-il partie ou non de la majorité ? « Ces réunions de la majorité ont pour objectif d’essayer de renforcer la cohésion de la coalition gouvernementale et d’unifier les positions. Mais elles restent sans effet quand elles aboutissent à des déclarations de ce type », a déclaré le Premier ministre. Il estime qu’aucun autre sujet ne pourrait être abordé lors des réunions de la majorité tant que les choses ne sont pas clarifiées avec le patron de l’Istiqlal. Alors que les deux leaders politiques semblaient avoir enterré la hache de guerre en début d’année, les sorties médiatiques du chef de l’Istiqlal montre qu’il n’en est rien. (Yabiladi)

Maroc-Espagne. Un réseau actif de vols de bébés marocains découvert. Un nouveau scandale lié aux vols de bébés vient d’éclater en Espagne. Il s’agit cette fois-ci d’enfants de nationalité marocaine. La Guardia Civil espagnole vient, en effet, de tirer au clair une affaire relative à un réseau spécialisé dans le vol de bébés marocains pour les revendre en Espagne, rapporte mardi 7 mai, l’agence de presse espagnole EFE. Les faits remontent à plusieurs années déjà, durant les années 70-80. A l’origine de l’enquête, lancée il y a près de deux ans, des plaintes déposées par l’association « Anadir », qui défend les personnes affectées par des adoptions irrégulières, en novembre 2011. Pour l’instant, 28 cas de bébés volés ont été dénombrés par la police espagnole. Ces derniers étaient pris à leurs mères au Maroc, souvent pauvres ou vivant dans la rue, avant d’être revendus à Melilla, ou introduits sur la péninsule ibérique, via la même ville, souligne le quotidien El Mundo. Les personnes qui se chargeaient de leur faire passer les frontières se faisaient passer pour leurs parents biologiques. Ils se servaient alors de faux papiers et documents pour prouver leur parenté. Une fois en Espagne, ces nouveau-nés étaient revendus à des parents souhaitant adopter, à des prix variant entre 200 000 et 1 millions de pesetas, soit entre 1200 et 6000 euros. Des faux certificats de naissance leur étaient également fournis par le réseau. Les parents adoptifs pouvaient alors inscrire les bébés comme étant les leurs sur le registre de naissance espagnol. Les mères, elles, se voyaient promettre une vie meilleure pour leurs enfants. Dans certains cas, elles percevaient des sommes d’argent, explique la même source. 14 mères « victimes » ont d’ores et déjà été identifiées par la police. Selon des sources proches de l’enquête, aucune personne n’a encore été arrêtée pour le moment. Il y aurait, toutefois, 31 personnes impliquées dans cette affaire. 12 d’entre elles sont décédées, d’autres sont d'un « âge très avancé » ou en mauvaise santé. « Chacun au sein du réseau tenait un rôle et une fonction. Ils étaient parfaitement organisés », a précisé Antonio Ortega, de la Guardia Civil. Trois autres individus occupaient parallèlement des fonctions dans le milieu médical. Côté marocain, des hôpitaux d’Oujda et de Nador sont cités. (AFP)

MRE. Benkirane promet une nouvelle approche et exhorte les pays d'accueil à respecter les droits des MRE. Le gouvernement exhorte les pays d'accueil à respecter les droits et préserver les acquis des Marocains résidant à l'étranger (MRE) prévus dans les conventions, a affirmé mercredi le Chef du gouvernement, Abdelilah Benkirane. Lors de la séance mensuelle sur la politique générale à la Chambre des conseillers, autour du thème "Conditions des MRE entre les garanties juridiques et la réalité", M. Benkirane a ajouté que son cabinet accorde un intérêt particulier aux droits des MRE à la protection sociale. L'Exécutif compte aussi élargir et développer ces droits, comme il a été indiqué dans le partenariat entre le Maroc et l'Union européenne en matière de mobilité, de migration et de sécurité, prévoyant la protection des droits et des acquis de la communauté marocaine établie à l'étranger, a indiqué M. Benkirane. Le Chef du gouvernement a rappelé le lancement, en mars dernier, d'une étude sur le renforcement et l'élargissement de la protection sociale au profit de cette communauté à travers la révision et l'amélioration des accords bilatéraux dans ce domaine ainsi que la conclusion d'autres accords avec de nouveaux pays hôtes, ajoutant que le gouvernement s'efforce à trouver des alternatives pour les Marocains résidant dans des pays qui s'abstiennent de signer ce genre d'accord ou qui ne disposent pas d'un système de protection sociale généralisé à toutes les catégories professionnelles. M. Benkirane a, également, rappelé qu'un accord de partenariat a été signé, en 2012, avec la Caisse de Dépôt et de Gestion (CDG) en vue de permettre aux retraités marocains résidant dans tous les pays du Golfe et d'autres pays arabes de bénéficier du système de retraite au Maroc. La protection des droits et des intérêts de la communauté marocaine résidant à l'étranger passe par l'intensification du dialogue et la diversification des mécanismes de coopération avec les gouvernements des pays d'accueil, a-t-il souligné. (MAP)

Habitat. Treize nouvelles villes sans bidonvilles d'ici fin 2013. Le ministre de l'Urbanisme et de la Politique de la ville, Nabil Benabdallah, a garanti mardi l’éradication de bidonvilles dans treize villes d’ici la fin de l’année 2013, communique la MAP. Ainsi, plus de 34 000 ménages seront concernés par cette action qui a déjà soustrait des logements insalubres dans 47 villes du Maroc. Le programme a un impact bénéfique puisque les conditions de vie de plus de 200 000 ménages se sont améliorées, soit 56% des familles ciblées. En outre, 23 projets ont été réalisés dans l’optique de la politique de la ville, évalués à 9 milliards de dirhams dont 16 portent sur la requalification urbaine, 4 sur la réhabilitation urbaine et 3 sur le développement de nouveaux pôles urbains intégrés, précise le ministre à l’occasion de la séance des questions orales à la Chambre des conseillers. (MAP) 

Justice. Le Maroc coopère avec le Qatar. Le Maroc et le Qatar ont signé, mardi à Rabat, un protocole d'entente relatif à la gestion du don qatari au profit du projet de construction du nouveau siège de l'Institut supérieur de la magistrature. Le document a été signé, du côté marocain, par le ministre de la Justice et des Libertés, Mustapha Ramid, et le ministre de l'Economie et des finances, Nizar Baraka, et du côté qatari, par le président de la Cour de distinction et du Haut conseil de la magistrature, Messaoud Mohammad Al Amiri. Le nouveau siège, qui sera réalisé sur une superficie de près de 50.000 m2 au niveau du parc Technopolis de Sala Al Jadida, pour un coût de 236 MDH, abritera notamment des locaux administratifs conçus en quatre étages, deux salles de conférences et une partie résidentielle. Ont pris part à la cérémonie de signature, le premier président de la Cour de cassation, Mustapha Fares, le procureur général du Roi près la même Cour, Mustapha Meddah, l'inspecteur général du ministère de la Justice, Abdellah Hamoud, le secrétaire général du même ministère, Abdelmajid Rhomija, et l'ambassadeur du Qatar au Maroc, Abdelaziz Ibn Abderrahmane Tourki Soubai. Le président du Haut conseil de la magistrature du Qatar a entamé une visite de travail au Maroc, durant laquelle il tiendra des réunions avec plusieurs responsables marocains, axés sur la promotion de la coopération bilatérale dans le domaine judiciaire, à travers l'élaboration de programmes communs de formation, l'échange de visites et l'organisation de conférences conjointes. L'Institut supérieur de la magistrature, l'une des institutions pionnières dans le monde arabe, a pour vocation de dispenser une formation initiale et spécialisée au profit des magistrats et attachés de justice du Maroc et des pays arabes. (MAP) 

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