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2 mai 2013

International

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USA. Un garçon de 5 ans tue sa petite sœur avec son cadeau d'anniversaire. Un garçonnet âgé de cinq ans a tué accidentellement sa petite sœur de deux ans avec la carabine de 22 long rifle qu'il avait reçue en cadeau d'anniversaire, ont annoncé mercredi les autorités du Kentucky. Le petit garçon jouait mardi avec sa carabine lorsque le coup est parti accidentellement dans la localité de Burkesville, dans le Kentucky. La fillette a été mortellement touchée à la poitrine. L'arme utilisée est une version pour enfants de la carabine Crockett qu'il avait reçue de ses parents pour son anniversaire en novembre. La mère faisait le ménage dans la cuisine lorsque le drame a eu lieu. Elle ignorait que l'arme était chargée. Le drame survient en plein débat national sur le port et la détention d'armes aux Etats-Unis, qui sont garantis dans la Constitution.

USA. Trois autres suspects inculpés après l'attentat de Boston. Trois nouveaux suspects ont été inculpés mercredi dans l'Etat du Massachusetts pour avoir fait obstruction à l'enquête menée sur l'attentat à la bombe de Boston, qui fit trois morts le 15 avril sur la ligne d'arrivée du marathon. Leur garde à vue a été prolongée à l'issue de leur comparution initiale devant un magistrat. Selon des documents judiciaires, Azamat Tajaiakov et Dias Kadirbaiev ont été inculpés pour avoir fait obstruction au cours de la justice en se débarrassant d'un sac à dos contenant des feux d'artifice ainsi qu'un ordinateur portable appartenant à Djokhar Tsarnaev, l'un des deux frères d'origine tchétchène soupçonnés d'avoir commis l'attentat. Ils sont passibles d'une peine maximale de cinq ans de prison et d'une amende de 250.000 dollars si leur culpabilité était établie. Le parquet a également inculpé un troisième homme, Robert Philippos, pour fausses déclarations aux enquêteurs. Il risque huit ans de prison maximum et 250.000 dollars d'amende. Les trois nouveaux suspects ont été interrogés par la police pour des faits survenus après les explosions mais ne sont pas inculpés pour une implication directe à l'attentat, ont précisé les autorités. Ils ont été présentés comme des amis de Djokhar Tsarnaev. D'après des documents du tribunal rendus publics, les trois hommes ont admis aux enquêteurs avoir fait disparaître le sac à dos de Djokhar Tsarnaev dans sa chambre le 18 avril, le jour de la diffusion par la police de photos des frères Tsarnaev présentés comme des suspects. L'enquête sur le double attentat, qui a également fait 264 blessés, n'avait débouché pour l'instant que sur l'arrestation le 19 avril d'un jeune homme d'origine tchétchène, Djokhar Tsarnaev, 19 ans, tandis que son frère Tamerlan avait été tué la veille dans une fusillade avec les forces de l'ordre. Deux des individus entendus par la police sont des étudiants de nationalité kazakhe soupçonnés d'avoir jeté un sac à dos à la demande de Djokhar Tsarnaev, a déclaré un enquêteur. Ils sont déjà détenus par les services de l'immigration pour violation des conditions de leur visa. La troisième personne interrogée est un ressortissant américain, a dit cet enquêteur sans autre détail.

Effondrement au Bangladesh. Plus de 400 morts, le pape dénonce "l'esclavage". Plus de 400 personnes sont mortes au Bangladesh dans l'effondrement la semaine dernière d'un immeuble de l'industrie textile, un secteur dénoncé par le pape pour le "travail d'esclave" imposé aux ouvriers. Avec un bilan porté mercredi à 411 morts et 140 personnes portées disparues, la catastrophe pourrait avoir fait plus de 550 victimes, selon les autorités. Le pire accident de l'histoire industrielle dans ce pays défavorisé d'Asie du sud, qui a jeté une lumière crue sur les "ateliers de misère" utilisés par les marques occidentales d'habillement, a fait descendre dans la rue des dizaines de milliers de manifestants en ce jour de fête du Travail. Plusieurs milliers de travailleurs brandissant des banderoles et des drapeaux rouges scandaient "Pendez les tueurs, pendez les propriétaires d'ateliers" lors de défilés organisés dans la capitale, Dacca, et qui se sont déroulés sans incidents. Des manifestations après le drame de mercredi dernier avaient été marquées par des violences. Au Vatican, le pape François a condamné le "travail d'esclave" des victimes de l'accident, ajoutant sa voix à celle d'organisations de défense des ouvriers qui dénoncent depuis des années leurs conditions de travail. En novembre, un incendie dans une usine textile avait déjà fait 111 morts près de Dacca. "Le titre qui m'a vraiment frappé le jour de la tragédie du Bangladesh était +Vivre avec 38 euros par mois+. C'est ce qu'étaient payés tous ces gens qui sont morts. C'est ce qu'on appelle du travail d'esclave", a déclaré le pape, cité par Radio Vatican. En fait, les salaires sont encore plus bas au Bangladesh: le minimum salarial mensuel habituellement versé aux ouvriers n'excède pas 38 dollars, soit 29 euros, pour six jours de travail par semaine et dix heures par jour. "Le bilan est désormais de 411 morts", a déclaré à l'AFP un lieutenant de l'armée, Mir Rabbi, précisant que 2.437 personnes avaient été secourues. Selon l'armée, 140 personnes étaient toujours portées disparues. Quelques minutes avant que soient portés en terre 33 corps non identifiés dans une tombe sans inscription lors d'une cérémonie mercredi à laquelle assistaient 2.000 personnes, une femme a reconnu sa sœur en soulevant le linceul d'un cadavre. L'immeuble abritait cinq ateliers de confection notamment liés aux marques espagnole Mango et britannique Primark.

Venezuela. Pugilat au Parlement vénézuélien, plusieurs députés blessés. Des députés vénézuéliens en sont venus aux mains mardi en plein Parlement et plusieurs d'entre eux ont fini le visage en sang après une session houleuse consacrée aux résultats contestés de l'élection présidentielle. Selon l'opposition, sept de ses élus ont été molestés et blessés alors qu'ils protestaient contre l'interdiction qui leur était faite de prendre la parole tant qu'ils ne reconnaîtraient pas la victoire du chaviste Nicolas Maduro à l'élection du 14 avril. "Ils peuvent nous frapper, nous emprisonner, nous tuer, mais nous ne renoncerons pas à nos principes", a déclaré à une chaîne de télévision locale un élu de l'opposition, Julio Borges, le visage contusionné et ensanglanté. Les échauffourées ont éclaté lorsque l'Assemblée nationale, dominée par les partisans de Nicolas Maduro, a adopté une mesure qui interdit aux opposants de s'exprimer tant qu'ils n'auront pas reconnu publiquement la victoire de l'héritier d'Hugo Chavez, contestée par leur chef de file et candidat malheureux à la présidentielle, Henrique Capriles. "Jusqu'à ce qu'ils reconnaissent les autorités, les institutions de la République, la volonté souveraine de notre peuple, les députés de l'opposition pourront aller parler (aux médias privés) mais pas ici à l'Assemblée nationale", a déclaré le président du Parlement, Diosdado Cabello. Les partisans de Nicolas Maduro et d'Henrique Capriles se sont mutuellement accusés d'avoir débuté les hostilités, qui se sont déroulées alors que le Parlement siégeait à huis clos. 

Malte. Malte serait le prochain détonateur d'une crise européenne. Un nouveau départ de feu dans la crise (les crises) européenne(s) ? C'est un risque que relève une étude de Natixis, publiée mardi 30 avril. 'Malte présente de troublantes similarités avec Chypre, affirme l'économiste de la banque française Alan Lemangnen : petite économie très ouverte, l'archipel s'est progressivement spécialisé dans les services d'intermédiation financière pour devenir l'une des principales places offshore de la zone euro.' Son système bancaire, le deuxième plus gros en Europe derrière le Luxembourg, pèse près de huit fois le produit intérieur brut de l'île (qui ressortait à 6,8 milliards d'euros en 2012, soit 0,08 % du PIB de la zone euro), un poids trop important pour pouvoir être englobé dans un plan de sauvetage. 'Le système fiscal maltais, très accommodant, a permis de capter de nombreux dépôts non résidents, lesquels ont massivement afflué dans la lignée de l'entrée du pays dans l'UE' (en 2004), explique Alan Lemangnen. Résultat : le système est rapidement devenu hypertrophié, et un sauvetage serait insoutenable pour un gouvernement qui reste aux prises avec une politique de consolidation budgétaire (Malte était en procédure pour déficit excessif auprès de la Commission européenne jusqu'en février dernier). 'Restructurer la dette publique sur le modèle grec serait inadapté, puisqu'en décembre 2012, presque 48 % de la dette globale était détenue par les banques maltaises', détaille l'économiste - l'Etat ne pouvant annuler des dettes auprès des banques tout en empruntant davantage auprès de ces mêmes banques. Et 'recapitaliser directement les banques via l'ESM serait également impossible car ces opérations ne seront effectives qu'en 2014 et ne concerneront très certainement que des montants limités'. 

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