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26 avril 2013

Nouvelles technologies

Nouvelles technologies

Censure. La censure étatique est de plus en plus active, selon Google. Partout dans le monde, les gouvernements essayent de supprimer toujours plus de contenus en ligne. C’est ce qui ressort de la dernière version du rapport de la transparence (Transparency Report), que Google a mis en ligne ce jeudi 25 avril. Au second semestre 2012, le géant du Net a reçu 2 285 demandes gouvernementales de suppression de contenus, contre 1 811 demandes au premier semestre 2012. Ce qui représente une augmentation de 26 %. Les principaux motifs invoqués sont la diffamation et la sécurité/confidentialité. Le pays le plus actif en la matière était le Brésil, avec 697 demandes. L’explication est d’ordre politique : des élections municipales ont eu lieu en automne 2012, et il se trouve que la loi électorale brésilienne est particulièrement stricte quant à la diffamation. En Russie, le nombre de demandes a également fortement augmenté, en raison d’une loi qui cherche à bannir les contenus jugés dangereux pour les enfants (pédopornographie, incitation à la drogue, incitation au suicide, etc.). Les requêtes de la part des autorités russes sont ainsi passées de 6 au premier semestre à 114 au second semestre. Enfin, Google a également reçu beaucoup de demandes de la part d’une vingtaine de pays pour supprimer des vidéos YouTube qui montrent tout ou partie du film anti-islam « Innocence of muslims ». En France, Google a reçu 58 demandes de suppressions sur la même période, contre 73 six mois auparavant. Selon le géant du Net, la censure étatique devrait globalement prendre de plus en plus d’ampleur, à mesure que l’usage de l’Internet augmente dans le monde.

Rachat. Google se paye Wavii pour 30 millions de dollars à la barbe d’Apple. Pas de quartier entre Apple et Google. Pour se distinguer et optimiser leurs services, les deux géants du web traquent les startups les plus stratégiques. Wavii en fait partie. Cette petite entreprise de Seattle qui dispose d’appli iOS et Android a mis au point une technologie de traitement du langage naturel plutôt efficace. Elle rejoindra bientôt la Californie avec ses 25 salariés pour intégrer la division Knowledge Graph de Google. TechCrunch, qui dévoile cette opération, tient d’une source proche du dossier que le montant versé pour cette transaction est de 30 millions de dollars. Pour acheter Summly à son fondateur de 17 ans, Yahoo a récemment investi la même somme.

Console. Microsoft annoncera bel et bien la Xbox 3 le 21 mai prochain. Les rumeurs sur une annonce de la nouvelle Xbox le 21 mai s’amoncelaient depuis quelques mois déjà. L’information est désormais officielle. Microsoft devrait commencer à lever le voile sur sa nouvelle console de jeux vidéo de salon à cette date, selon des invitations envoyées mercredi 24 avril. Ces invitations indiquent que les équipes de la Xbox vont dévoiler une « nouvelle génération » lors d'un événement prévu à cette date sur le campus du groupe à Redmond. Microsoft est le dernier arrivé dans la course à la console « next-gen », au renouvellement des consoles. La PlayStation 4 a été partiellement dévoilée par Sony lors d’un événement spécial à New York en février dernier. Tandis que la Wii U, de Nintendo, est déjà commercialisée en France depuis la fin d’année dernière avec un succès assez mitigé jusqu’à présent, à en croire les derniers résultats financiers du groupe nippon. De son côté, Microsoft a écoulé plus de 70 millions d’exemplaires de sa Xbox 360 à travers le monde depuis son lancement en novembre 2005. Aux Etats-Unis, son marché domestique, la console a enregistré en mars son 20e mois consécutif en tête des ventes, selon le cabinet de recherche NPD Group.

Justice. Visa et MasterCard, sommés par l’Islande de débloquer l’argent de WikiLeaks. L'Islande a ordonné mercredi au partenaire en Islande des deux géants des cartes bancaires Visa et MasterCard, qui bloquent les donations au site internet Wikileaks depuis 2010, de les
permettre à nouveau. La Cour suprême a confirmé un jugement prononcé en juillet qui estimait que Valitor (anciennement Visa Iceland) avait mis fin sans raison valable à son contrat avec WikiLeaks. Elle a donné à cette société 15 jours pour rouvrir le portail de donations. Si ce n'est pas fait, Valitor devra s'acquitter d'une amende journalière de 800.000 couronnes (plus de 5.200 euros). Après s'être rendu mondialement célèbre en publiant des documents classés sur les guerres d'Irak et d'Afghanistan et des milliers de télégrammes secrets de la diplomatie américaine, WikiLeaks a dû faire face à la tentative de Visa et MasterCard de bloquer les dons d'internautes. WikiLeaks estime que le manque à gagner se chiffre en millions de dollars. « Nous remercions le peuple islandais d'avoir montré qu'il ne se laisserait pas intimider par des groupes de services financiers soutenus par Washington tels que Visa », a affirmé dans un communiqué le fondateur de WikiLeaks, Julian Assange. Des plaintes contre le blocage des dons à WikiLeaks ont été déposées dans d'autres pays, et la Commission européenne évalue si elle doit enquêter sur cette affaire. 

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